Dépollution in situ

Pour y parvenir, nos équipes emploient des moyens :

• Physiques comme l’extraction des gaz du sol (venting), l’injection d’air en nappe (sparging), le pompage et traitement des eaux souterraines, la récupération des phases de produit pur (écrémage). Ces solutions sont adaptées aux polluants volatils et/ou solubles.
• Chimiques comme l’oxydation ou la réduction qui vont aboutir à la destruction in situ des molécules polluantes. Ces techniques sont particulièrement adaptées aux hydrocarbures, BTEX, COHV.
• Biologiques par voie aérobie (hydrocarbures, BTEX) ou anaérobie (COHV).

Pour répondre aux problématiques de pollution de nappes phréatiques et préserver la ressource en eau, nous dimensionnons et concevons en propre nos systèmes de traitement mobiles de façon à fournir une réponse sur mesure et adaptée aux pollutions, aux contraintes du site (hydrogéologie, infrastructures industrielles, exploitation, usages…), et du projet (coûts, délais).

Selon la complexité des projets et le degré de pollution, nous proposons en amont la mise en œuvre de tests en laboratoire et la réalisation d’essais pilotes sur site pour valider et optimiser le traitement à grande échelle.

Les traitements de sols réalisés in situ ne nécessitent pas d’excavation et permettent ainsi de traiter les pollutions en place par extraction, dégradation, stabilisation… Ces solutions permettent de s’affranchir de travaux d’excavation et d’élimination des terres en filières mais nécessitent très souvent des délais de réalisation assez longs (de quelques mois à plusieurs années).

D’une façon générale et que ce soit pour traiter les eaux souterraines ou les sols, il est souvent nécessaire de coupler plusieurs technologies dans l’espace et dans le temps pour garantir l’atteinte des objectifs.